Revue de presse

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Le risque de diabète est lié au revenu
En matière de diabète, si vous gagnez plus de 9 500 francs par mois dans votre ménage, votre risque d’avoir le diabète est de 5 %, a révélé une étude du Bus Santé des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG). Si le revenu est en dessous de 5 000 francs, le risque passe à 10 %. Il est donc multiplié par deux. C’est le professeur Idriss Guessous, responsable de l’Unité épidémiologique populationnelle des HUG, qui a mené la recherche faite à Genève sur le renoncement à des soins de santé et sur la prévalence du diabète. Dans tous les cas, c’est le facteur du revenu qui explique le mieux les différences.
(La Tribune de Genève/13-11-2017)

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Le smartphone permet de réduire les coûts
Avec un itinéraire santé numérisé, des téléphones portables, des applications appropriées et le dossier électronique du patient, plus d’un milliard de francs par an pourraient être économisés. Un responsable du secteur santé de KPMG Suisse fonde en partie cette estimation sur une association du smartphone au futur dossier électronique du patient. Du côté de Berne, on relève que l’avantage d’un dossier électronique n’apparaît qu’en cas de consultations répétées des prestataires. Cette nouveauté prend dès lors une importance toute particulière pour les personnes atteintes de maladies chroniques.
(La Tribune de Genève/26-09-2017)

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10 x plus de jeunes obèses en quarante ans
Le nombre d’enfants et d’adolescents obèses dans le monde a été multiplié par plus de dix depuis 1975, mais ceux en insuffisance pondérale restent encore plus nombreux, selon une étude publiée en octobre, qui appelle à lutter de front contre ces « deux fléaux » de la malnutrition. En 2016, 124 millions de jeunes de 5 à 19 ans dans le monde étaient considérés comme obèses, un chiffre qui reste inférieur aux 192 millions d’enfants en sous-poids. Si les tendances observées ces dernières années se poursuivent, l’obésité juvénile surpassera l’insuffisance pondérale d’ici à 2022, prédisent les auteurs de cette étude, publiée dans la revue médicale britannique The Lancet
(Le Monde/11-10-2017)

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Nouvelle « taxe soda » adoptée en France
En France, depuis 2013, l’ensemble des boissons contenant une quantité – même minime – de sucres ajoutés sont taxées à raison de 7,53 euros (8, 80 francs) par hectolitre. La version modulée de la taxe, adoptée en octobre par les députés français, prendra en compte le taux de sucre. Elle prévoit que la taxation se déclenchera à partir de 1g de sucre pour 100ml. Elle progressera jusqu’à une vingtaine d’euros par hectolitre pour un produit dépassant 11g de sucres ajoutés pour 100ml. Cela incitera les industriels à réduire « même d’un gramme » le taux de sucre, selon le rapporteur de la loi, pour lequel le dispositif a pour « seul objectif celui d’aider la santé des enfants », et d’éviter « Les risques d’obésité et de diabète de type 2 ».
(Le Monde/27-10-2017)

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Le Nutella encore plus sucré !
La recette du Nutella a été modifiée. Si la part de graisse a légèrement diminué, la teneur en sucre passe de 55,9% à 56,3%, affirme une association de consommateurs allemands, alors que son fabricant Ferrero évoque un «ajustement». Le fait est que la quantité de sucre, qui représentait déjà plus de la moitié d’un pot, a encore augmenté.
(La Tribune de Genève / 06-11-2017)

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